L’histoire du déodorant commence en 1888 avec Mum, une crème à base de zinc destinée à neutraliser les odeurs. Au début du XXᵉ siècle apparaissent les antitranspirants à base de sels d’aluminium, qui séduisent par leur efficacité à bloquer la transpiration, mais finissent par être soupçonnés d’être à l’origine de certains cancer du sein.

Ce danger est aujourd’hui totalement remis en cause par plusieurs études mais se pose tout de même la question du respect des fonctions naturelles de la peau. En effet la transpiration est un procédé naturel qui permet à l’humain de réguler sa température. Les décennies suivantes voient se multiplier les formats pratiques : roll-ons dans les années 1950, aérosols dans les années 1960, puis sticks solides qui s’imposent après l’abandon des sprays aux CFC (détruit la couche d’ozone).

Plus récemment, la recherche de solutions plus douces a remis à l’honneur des agents simples et efficaces comme le bicarbonate de soude. Ce dernier agit en neutralisant naturellement les odeurs, sans bloquer la transpiration et sans recourir à des substances controversées. Bien utilisé et bien dosé, il constitue une alternative fiable, respectueuse du corps et en accord avec une démarche écologique.
C’est dans cette continuité que s’inscrit ma formule : elle tire parti de l’expérience du passé tout en privilégiant la simplicité, l’efficacité et le respect de la peau. Un retour à l’essentiel, pensé pour allier santé, nature et efficacité au quotidien.